Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barrière, refuse de se soumettre au test de paternité réclamé par Rachida Dati. Trois ans et demi après la naissance de Zohra, l’identité du père de la petite fille demeure inconnue du grand public tenu éloigné de l’intimité de l’ex Garde des Sceaux….
Selon plusieurs journaux français, Dominique Desseigne est assigné mardi prochain par l’ancienne ministre de la Justice devant la chambre civile du tribunal de grande instance de Versailles pour le motif d’une « reconnaissance en paternité. » Rachida Dati avait, jusqu’ici , toujours refusé de dévoiler le nom du père de sa fille, choisissant ainsi d’alimenter de nombreuses rumeurs à ce sujet…
Dominique Desseigne explique qu’il présentera un « intérêt légitime à contester la demande d’expertise », et donc à refuser le test de paternité. Est-il le père de l’enfant? « Il jure qu’il l’ignore », écrit la journaliste qui l’a rencontré. Dans le cadre de la loi française, aucun tribunal ne peut le contraindre à ce test. La legislation impose le consentement de l’intéressé.
Dans cet entretien, l’homme d’affaires refuse de s’étendre d’avantage sur cette affaire. Volontairement et en signe de détachement, il a choisi d’appeler Rachida Dati « la dame » les quelques fois où il dut se référer à elle. « La liaison qu’il a entretenue avec elle, n’était à ses yeux, qu’une aventure » explique d’ailleurs la journaliste chargée de ce dossier.
Difficile de démêler le vrai du faux dans ce Gang Bang politico-people
Pour sa défense, il fera notamment valoir qu’à l’époque, « la dame » entrelaçait les liaisons. Son avocate en recense huit au bas mot, « dont un animateur télé, un ministre, un PDG, un premier ministre espagnol, l’un des frères de Nicolas Sarkozy, un procureur général qatari et l’héritier d’un empire du luxe » a avancé le magazine du Monde. De son côté, Me Marie-Christine Guillot-Bouhours, qui défend Rachida Dati, refuse de commenter l’affaire mais, selon une source judiciaire, l’ancienne Garde des Sceaux « invoquera des attitudes de Dominique Desseigne, qui lui a loué un appartement. Elle produira des attestations de son personnel qui raconte qu’il venait souvent voir la petite. » Une version des faits que l’accusé réfute. « Il ne parlait jamais d’elle », assure d’ailleurs le producteur de cinéma Alain Terzian, l’un de ses plus proches amis.
Dans mon milieu, ce genre de femme porte un nom !!
On se demande comment certaines personnes atteignent certains postes, on a la réponse !!
N’a t-on pas appelé Christine Deviers Joncour la putain de la république !!??!!!
Eh ben y’en à d’autres qui travaillent pas avec leur tête
Il y en a même qui ne retrouvent pas le père !!