Les premiers sondages tombent à propos du Trierweilergate, un surnom bien médiatico-dramatique pour une histoire pas franchement marrante ni utile. Les conséquences dans l’opinion publique se font déjà ressentir
Alors que la crise s’aggrave, l’Espagne boit la tasse, elle est même à la limite de la noyade et les relations franco-allemandes se détériorent chaque jour. Tous les analystes s’en inquiètent. La première compagne de France sème pourtant le chaos dans la politique française et embarrasse le jeune gouvernement Ayrault. Le divorce des français est déjà consumé avec la journaliste de Paris-Match qui n’a rien gagné dans cette histoire, mis a part un nombre de « followers » en augmentation. Dérisoire récompense de l’égo face au chaos qui gangrène l’Europe.
Pas mieux que Sarkozy le flamboyant
Gala publie une enquête Harris Interactive qui révèle que 69% des français désapprouvent la manière dont elle soutient Olivier Falorni, candidat « dissident » à la Rochelle contre S. Royal, en pleine campagne de victimisation depuis.
Le feuilleton Royal-Trierweiler. Elle Magazine parle d’une « vieille histoire de jalousie » à l’origine du gazouilli
Pire encore, 81% des sympathisants de gauche et 72% des femmes ont exprimé leurs désaccords. La cerise sur le gâteau : 42% des français jugent que le nouveau président, qui érige paradoxalement la « normalité » en qualité, expose autant sa vie privée que N. Sarkozy.
Selon le site Lab/Europe1, le site officiel de l’Elysée a fait « disparaître » la page consacré à Valérie Trierweiler, ça chauffe apparemment au « Château »…