Le business-man hors pair et ex-leader des Whites Stripes aurait un nouveau projet en tête: rééditer chronologiquement plus de 25 000 morceaux de blues d’avant-guerre… Pour le bien de la culture américaine. Jack White dans sa « Rolling Records Store », un magasin de vinyles itinérant A l’image du bonhomme, on s’est douté qu’il s’agissait encore d’un projet assez étrange. En plus d’être un artiste complet, Jack White est un véritable entrepreneur. Sauf que ce coup-ci le musicien s’est reconverti dans la pédagogie. Son nouveau projet ? Rééditer chronologiquement plus de 25 000 morceaux de blues d’avant-guerre en format vinyle. Un vrai travail d’orfèvre et qui plus est entièrement bénévole. Faire connaître ce patrimoine musical Le but principal, étant donné qu’il est non-lucratif, serait d’éduquer la population américaine sur le blues, un style musical délaissé depuis des années, qui fait cependant partie intégrante de l’histoire américaine. Selon l’intéressé, “c’est très important pour l’histoire américaine mais aussi pour l’histoire du monde. Chez Third Man Records, on ne se préoccupe pas vraiment du profit. On veut juste créer des choses que l’on veut voir exister, et si ça fonctionne, on a de la chance – sinon, ça n’a pas vraiment d’importance”. Pour cela, il doit rentrer en contact depuis Nashville avec « Document Records », un label écossais qui détiendrait les précieux enregistrements. « Third Man Records » : l’empire de Nashville Musicien et entrepreneur, Jack White a créé son label « Third Man Records » en 2009. Il décide d’ouvrir un magasin de vieux 45 tours et inaugure une petite salle de concert de deux cents places, assortie d’une cabine pour enregistrer les concerts en analogique. Quelques temps après, il ouvre un studio de photos et un bureau de graphisme pour créer les affiches et les flyers de son label. Il se lance ensuite dans un projet hors du commun, baptisé le « Rolling Records Store » : une camionnette de marchand de glaces reconvertie en boutique de disques itinérante. Une grande première. Il vend d’ailleurs des disques de plus en plus fous (parfumés, phosphorescents, façon gigogne…) -créations originales de l’artiste- de petits groupes locaux ou de pointures comme Jerry Lee Lewis ou Tom Jones… Partager : Laisser un commentaire Annuler la réponse Votre adresse e-mail ne sera pas publié. Nom* Email* Site Web * Copy This Password * * Type Or Paste Password Here * Commentaire Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par email.