Le projet High Frequency Active Auroral Research Program, abrégé en HAARP, est un système américain financé par la US Navy et l’Air Force. Le site est situé en Alaska, dans une zone quasiment non-habitée. Composé de 180 antennes, HAARP a été développé pour pouvoir étudier l’ionosphère (atmosphère supérieure d’une planète). En réalité, de nombreuses controverses et des dérives dans l’utilisation de ce système ont été relevées. Certains parlent même de « guerre météorologique »
A l’origine de ce projet HAARP, se trouve le père fondateur du système Bernard Eastlund, Physicien au Massachussets Institute Of Technology. Les recherches de Bernard Eastlund se sont inspirées des travaux de Nicolas Tesla, savant croate du début du siècle à qui l’on doit les découvertes sur l’énergie ionosphériques. Auteur de nombreuses découvertes scientifiques comme le courant alternatif, prix Nobel de la science, Tesla avait entre autre mis au point un procédé permettant de transporter d’importantes quantités d’énergie électrique sans câbles, sur de grandes distances, en se servant de l’ionosphère comme support. Tesla n’imaginait pas à son époque à quoi allait un jour servir son invention.
Quelques décennies plus tard, en améliorant le dispositif grâce à l’apport de l’électronique, Eastlund réussit à s’attribuer la paternité du projet. Le procédé HAARP était né…
Avec ces installations, les chercheurs « tentent aussi de produire de petits changements temporaires sur une région limitée, directement au-dessus du site d’investigation, qui, en aucun cas, ne peut être comparable aux phénomènes globaux provoqués par les perturbations solaires. Les instruments, d’une sensibilité extraordinaire, installés à l’observatoire HAARP permettent de faire des corrélations détaillées à partir des effets limités ainsi produits, permettant une meilleure compréhension de la façon dont l’ionosphère répond à une grande variété de phénomènes naturels.». Pourtant, cette demie-reconnaissance du potentiel de cette installation permettent de soupçonner les USA d’être responsable de changements climatiques inexpliqués voire pire. En effet, le projet HAARP peut, d’un point de vue scientifique, être étendu à d’autres domaines :
- scanner les entrailles de la terre à la recherche de bases secrètes,
- interrompre toute forme de communication hertzienne,
- influencer les comportements humains,
- modifier la météorologie,
- « griller » les avions dans le ciel
- de provoquer des tremblements de terre
- explosions aussi puissantes qu’une bombe atomique
Dès 1952, le Docteur José Delgado, Professeur à l’Université de Yale, avait découvert que l’on pouvait affecter le comportement émotionnel d’un individu en le soumettant à certaines fréquences et types d’ondes. Des très basses fréquences aux alentours de 7 HZ peuvent en effet provoquer l’apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent un « vaste arsenal de réponses émotionnelles ou intellectuelles ». HAARP peut donc être une arme neutronique…
Des suspicions au plus haut niveau
En 1973, le Honduras accuse les Etats-Unis de voler sa pluie et de provoquer une grande sécheresse en détournant artificiellement l’ouragan Fifi pour sauver l’industrie touristique de la Floride. Cet ouragan a causé les plus grands dégâts jamais vus dans l’histoire du Honduras. Le Salvador subissant le fléau de la sécheresse a porté des accusations similaires contre les Etats-Unis.
L’énorme bouleversement météo de 1982/83 causé par El Nino, dans l’Océan Pacifique, aurait été provoqué par une action soviétique sur l’ionosphère, L’URSS ayant mis en place un projet de type HAARP durant la guerre froide. Ce phénomène météorologique est récurrent et donc connu, curieusement, les effets habituels d’El Nino de 82/83 n’étaient plus du tout les mêmes. Les alizés à l’équateur, qui soufflent d’Est en Ouest dans l’hémisphère Sud furent inexplicablement refoulés. Cela eut pour effet de retenir les courants d’eau chaude qui s’écoulent normalement vers l’Asie. L’eau se mit alors à refluer et à s’accumuler devant la côte ouest de l’Amérique du sud. Ce revirement aurait provoqué des pluies diluviennes au Pérou, de même que les tornades dans le sud de la Californie et le long de la côte est de l’Amérique du nord et de l’Alaska.
En 1999, un rapport de la Commission des Affaires Etrangères, de la sécurité et de la politique de défense du Parlement européen reprend une partie de ces assertions et mentionne que « le système militaire américain de manipulation ionosphérique, HAARP, lequel est basé en Alaska et ne représente qu’une partie du développement et de l’usage d’armes électromagnétiques à des fins de sécurité tant extérieure qu’intérieure, constitue un exemple d’une nouvelle menace militaire particulièrement grave pour l’environnement et la santé humaine au niveau planétaire »
La France, victime de son indépendance géopolitique
Dans la nuit des 25 et 27 Décembre 1999, deux tempêtes d’une violence exceptionnelle s’abattaient sur la France, alors que le pays s’apprêtait à célébrer le passage à l’An 2000. Ces tempêtes représentaient un phénomène météo très inhabituel.
Les modélisations 3D réalisées par Météo France montrent à quel point la configuration météorologique avait l’efficacité d’une machine de guerre.
Rappelons que l’existence des armes climatiques a été implicitement reconnue dans un traité international de désarmement. Un traité international adopté en 1977 sous le nom de « convention ENMOD », interdit en effet expressément le développement d’armes « de nature à influencer le climat ». Le fait que ce type d’armes soit mentionné dans cet accord indique que leur existence n’est pas de la science-fiction. Les Etats-Unis ont signé le traité et selon eux HAARP sert uniquement à des fins de recherches scientifiques. Ces affirmations sont étayées par les nombreux projets financés en parallèle du projet.
Ces tempêtes de décembre 1999 pourraient donc avoir été provoquées par une arme climatique, utilisée afin de sanctionner l’attitude récalcitrante de la France sur la mondialisation, les OGM, et le traité de l’AMI. (Le principe central de l’AMI est de créer tout un ensemble de droits nouveaux pour les multinationales, au détriment des états et des populations, et sans aucune obligation en contrepartie. Cet accord économique international a été négocié dans le plus grand secret depuis 1995 sous l’égide l’OCDE).
Ces » tempêtes » ont été suivies par un virage à 180 degrés de la politique du gouvernement de Lionel Jospin au sujet de la mondialisation et des OGM…
Le naufrage du pétrolier Erika, le 12 décembre 1999 (soit quelques jours à peine avant les tempêtes), naufrage dont les médias n’ont pas assez souligné les circonstances douteuses, a pu être une signature des événements calamiteux qui allaient frapper la France quelques jours plus tard. Le nom du navire Erika peut faire penser selon certains à un code symbolique d’identification : I AM ERIKA qui se prononce : AMERICA !
Un cyclone tropical baptisé ERIKA dévasta la Nouvelle Calédonie le 14 Mars 2003, entraînant des frais considérables pour la France. Un mois auparavant, Dominique de Villepin avait demandé que se tienne, le 14 mars justement, une séance du Conseil de sécurité à l’ONU destinée à « évaluer la situation » sur l’Irak. Inutile de dire que cette séance n’eut jamais lieu, la guerre en Irak étant devenue inévitable à cette date. Une théorie qui est défendue par de nombreux sites et blogs spécialisés.
Des phénomènes inexpliqués
L’année 2011 a débuté avec des milliers d’oiseaux découverts morts au petit matin du 1er Janvier et sous des latitudes aussi éloignées que L’Arkansas ou la Suède. En Italie, ce sont plus de 8000 tourterelles qui sont frappées.
On les retrouve avec une tache bleue inexpliquée sur le bec. Des pigeons, morts par milliers ont été retrouvés les tripes brûlées ( !!!! ) à l’est de Québec. Des dizaines de milliers de crabes morts retrouvés épars sur des plages Anglaises. Plusieurs centaines de phoques sur les côtes Nord du labrador dont les corps jonchent des plages entières.
Arrêt cardiaque dû au tir de feux d’artifices de la St Sylvestre, lignes haute tension, un virus inconnu, la foudre, des traumas répétés ou encore des suicides collectifs (étrange connaissant la conscience inexistante des animaux) ! Les médias conventionnels expliquent de manières diverses et variées ces morts étranges. Pour autant, des essais militaires dans la catégorie gaz ou ondes scalaires type H.A.A.R.P peuvent très bien être à l’origine de ces phénomènes.
La Russie dispose aussi d’une installation de ce type et l’UE a mis en place une base similaire (mais beaucoup moins puissante) en Norvège… Rien de très rassurant quant à la puissance et les impacts potentiels de ces projets, tout droit sortis d’un film de SF ou bien d’horreur…
Sources : Wikipédia, Presse Libre Internationale, Les anges ne jouent pas de cette HAARP, bibleetnombres.fr
Par Arthur Beaufils







